Afrique du Sud
Cris de joie, applaudissements assourdissants, des sud-africains étaient en liesse à l’aéroport, Or Tambo de Johannesburg mardi. Après le sacre, les springboks du coach Rassie Erasmus rentrent à la maison, ils sont accueillis avec honneur par une foule de supporters dans une salle saisie de fièvre patriotique.
Il a fallu un peu plus de quatre heures à l‘équipe pour atteindre la salle réservée pour la conférence de presse.
“Les gens à l’extérieur et à l’intérieur nous ont beaucoup aidés. Cela nous a donné une autre raison de nous battre encore plus fort, parce que nous savions ce qui se passait à la maison. Je pense que l’entraîneur nous a rappelé que nous avons le privilège de faire ce que nous faisons et que cela peut donner un peu d’espoir aux gens” s’est exprimé le capitaine de l‘équipe Siya Kolisi.
Des sud-africains ont célèbré à l’unisson leurs champions, loin des barrières raciales. Au grand bonheur du coach des springboks.“Ce que nous voulons continuer à vivre, c’est ce que nous voyons à l’aéroport et ici, dans cette salle, vous savez, noirs et blancs, différentes religions et différentes religions,… Toutes les personnes de différentes différences réunis pour travailler ensemble”. A déclaré le coach Rassie Erasmus, très enthousiaste.
Les springboks ont écrasé l’Angleterre de 32 buts contre 12 en finale de la coupe du monde samedi à Yokohama, et deviennent ainsi champions du monde de Rugby pour la 3e fois après les sacres de 1995 et 2007. Une chose toute particulière selon les rapports, c’est un capitaine noir qui a soulevé le trophée.
11:04
Cameroun : 40 ans de Biya, quel visage pour l’économie ? [Business Africa]
01:00
Arrêt sur images du 15 octobre 2025
Aller à la video
USA : le visa d'un Sud-Africain révoqué pour ses propos contre Charlie Kirk
00:44
Mondial 2026 : l'Afrique du Sud, le Sénégal et la Côte d'Ivoire qualifiés
01:00
Arrêt sur images du 13 octobre 2025
01:05
France : pas "d'acte criminel" derrière la mort de l'ambassadeur sud-africain