Suisse
Le Festival du Film et Forum International sur les Droits de l’Homme (FIFDH) a distingué 12 films engagés cette année, mettant en lumière des initiatives porteuses d’espoir à travers le monde.
À travers une programmation poignante, le festival a su prendre le pouls des sociétés en abordant des enjeux majeurs et en mettant en avant les actions concrètes menées aux quatre coins de la planète. Agir par le biais d’un engagement citoyen pour palier le sentiment d’impuissance face aux problématiques mondiales, tel est le mot d’ordre que partagent de nombreux activistes. Certains d’entre eux ont été réunis pour une discussion lord du festival du film et forum international sur les droits de l’homme à Genève, pour parler de la nécessité de garder l’espoir pour un plus bel avenir.
La fondation « Maman Sahélienne », c’est le fruit d’un long processus d’engagement personnel et d’observation des besoins au sein de nos communautés. Il n’y a pas d’autres moyens que l’engagement pour reconstruire nos sociétés et maintenir l’espoir en vie. La façon de conserver l’espoir est d’ouvrir les yeux sur les défis des OSC, organisations de la société civile, et d’arriver à faire en sorte que leurs actions soient coordonnées et leurs réponses, orientées dans la même direction, explique Maïmouna Ba, sa fondatrice.
Un engagement qui résonne au moment où le sahel fait face à une guerre sans précédent due au terrorisme. Les massacres des civils se comptent par dizaines, plusieurs pans de cette région sous la coupe des terroristes affiliés à Al-Qaïda et à l'état islamique
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