El Salvador
Le président du Salvador, Nayib Bukele, a proposé d’accepter les personnes expulsées des États-Unis, quelle que soit leur nationalité, y compris les citoyens américains condamnés pour des crimes.
"Il a également proposé d’en faire de même pour les criminels dangereux actuellement en détention et purgeant leur peine aux États-Unis, même s’ils sont citoyens américains ou résidents légaux", a déclaré lundi le secrétaire d’État américain, Marco Rubio.
Des militants des droits de l’homme ont averti que le Salvador ne dispose pas d’une politique cohérente pour le traitement des demandeurs d’asile et des réfugiés, et qu’un tel accord pourrait ne pas se limiter aux criminels violents.
De plus, le gouvernement américain ne peut pas expulser des citoyens américains, et une telle mesure ferait face à d’importants défis juridiques.
Des manifestants ont défilé dans le centre-ville de Los Angeles et de Phoenix pour protester contre les plans de déportation massive du président Donald Trump.
Les manifestations faisaient partie du mouvement national "Un jour sans immigrés", avec des rassemblements organisés tôt le matin dans le centre de Los Angeles.
En début d’après-midi, certains manifestants ont été aperçus dans la région de Santa Ana.
Plus tard dans l’après-midi, un groupe est retourné près d’un pont surplombant les autoroutes du centre-ville de Los Angeles, où ils ont poursuivi leur rassemblement.
D’importantes forces de l’ordre étaient présentes sur place à Los Angeles, et la police (LAPD) a déclaré un "rassemblement illégal" à 17 h 30, demandant aux manifestants d’évacuer la zone.
01:00
Le ministre des Finances sud-africain rejette les accusations de génocide
02:06
Face au boycott américain, l’Afrique du Sud défend la légitimité du G20
00:47
Fin du "shutdown" et retour de l'affaire Epstein, Trump contre-attaque
00:56
L'ONU exhorte la Libye à fermer les centres de détention de migrants
01:11
Guinée équatoriale : l'accord migratoire avec les USA fait polémique
00:55
USA : JD Vance annule sa visite au Kenya suite au boycott du G20