Mozambique
Alors que le vote au Parlement de la nouvelle loi électorale a été reporté la semaine dernière au Mozambique, le président Felipe Nuysi a exigé le désarmement de l’ancienne rébellion avant les élections générales d’octobre 2019.
Le chef de l‘État mozambicain a rappelé qu’il n’y a pas d’alternative au désarmement et à la démobilisation. L’ancienne rébellion Renamo doit déposer les armes avant la tenue du scrutin.
De son côté, l’ancienne guérilla s’est engagée à désarmer mais pas avant la date d‘échéance. Pour la cheffe du groupe parlementaire de la Renamo cette décision du pouvoir trahit sa volonté d’interférer dans une question qui a été réglée. Pour elle, le désarmement sera engagé d’ici octobre.
Avant sa mort, le leader de la Renamo Afonso Dhlakama et Felipe Nuysi s‘étaient accordé sur une réforme constitutionnelle qui devrait permettre à la Renamo de diriger plusieurs des dix provinces du pays.
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