Emirats Arabes Unis
A la tribune de la COP 28 à Dubaï, le président sud-africain Cyril Ramaphosa a salué les premières promesses, mais a déclaré qu'il fallait mobiliser des fonds à une échelle bien plus grande pour les pays impactés par le changement climatique.
Le premier jour des négociations a vu le lancement d'un fonds pertes et dommages d'environ 600 millions de dollars. Mais ce fond est largement inférieur aux 100 milliards de dollars par an réclamé par les pays les moins responsables du changement climatique.
"Les pays africains sont parmi les plus vulnérables aux effets d’un changement climatique rapide et doivent s’adapter et renforcer leur résilience dans un contexte de niveaux de développement historiquement bas et de capacités sévèrement limitées" a-t-il souligné.
Pour la première fois, plus de 130 pays ont accepté vendredi d'intégrer l'agriculture et l'alimentation, à leurs plans d'action. Cette déclaration non-contraignante a été saluée comme mettant enfin les systèmes alimentaires sous les feux de la rampe lors des négociations sur le climat.
01:06
COP30 : l’écart des émissions menace la limite des 1,5 °C
01:38
Brésil : la mise en œuvre des engagements climatiques, défi de la COP30
01:06
USA : baisse drastique du quota de réfugiés, priorité aux Afrikaners
11:07
Comment financer durablement les infrastructures africaines ? [Business Africa]
01:11
L'ouragan Mélissa s'intensifie en tempête et se dirige vers la Jamaïque
01:00
Saison des tempêtes au Vietnam : Hoi An gravement inondée, évacuations massives en cours