Tunisie
Les mesures du président Kais Saied à Sidi Bouzid ont été accueilli avec enthousiasme.
Comme mesures annoncées, la nomination d'un nouveau chef de gouvernement, et une réforme à venir de la Constitution de 2014. Le chef de l'Etat s' est violemment pris aux politiciens et députés tunisiens qu'il accuse de corruption.
_"Ce que le président a dit m'a rassuré, il faut agir urgemment et s'empresser de prendre des mesures. De manière générale, j'ai une grande confiance en lui et j'espère que notre avenir sera meilleur avec lui, se félicite, _Lassad Gabsi.
Le 25 juillet, le président Saied a limogé le Premier ministre Hichem Mechichi, suspendu les activités du Parlement et s'est arrogé aussi le pouvoir judiciaire, pour un mois renouvelable avant de prolonger ces mesures le 24 août, jusqu'à nouvel ordre.
_Il a annoncé qu'il allait changer la loi électorale et l'importance de ce changement ne s'arrête pas à la modification des aspects formels mais le but de ce changement est de réduire le rôle des partis politiques et de s'appuyer sur l'élection d'individus, ce qui donnera un parlement hétérogène, souligne _Slaheddine Jourchi, analyste politique.
Pendant que plusieurs voix au sein de la population s'élèvent pour appeler à la dissolution du Parlement, le parti Ennahdha, la principale force parlementaire a critiqué ces annonces, estimant que "le maintien en vigueur des mesures d'exception peuvent entraîner le démantèlement de l'Etat et aggraver la crise économique, financière et sociale.
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