Afrique du Sud
Un tribunal sud-africain a réfuté jeudi 30 octobre 2025, l’explication officielle de la mort d’Albert Luthuli.
Le prix Nobel de la paix ne serait pas décédé percuté par un train en 1967 comme ont affirmé les autorités de l’époque, il serait en réalité décédé des suites d’une agression de la part des forces de l’ordre du régime de l’apartheid.
Même s’il est peu probable que des poursuites soient engagées contre les sept suspects décédés pour certains et introuvables pour d’autres, la cour de Pietermaritzburg, à l’est du pays, réécrit l’histoire avec cette décision importante pour la famille du défunt et pour le pays.
Le meurtre d’Albert Luthuli a été camouflé, avec la complicité des employés de la compagnie ferroviaire sud-africaine, pour faire croire à un accident.
Albert Luthuli a dirigé l'ANC, parti de libération sud-africain de 1952 jusqu'à sa mort, une période au cours de laquelle le régime d'apartheid a interdit le mouvement en 1960.
 
                                 
                                 
             
         
                                                             
                                                             
                                                                                 
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                            
01:13
Mali : l'ancien Premier ministre Moussa Mara condamné à 2 ans de prison
01:43
Une scène de brimade dans un lycée soulève l'indignation en Afrique du Sud
00:53
Afrique du Sud : Zuma sommé de rembourser 1,7 million de dollars
01:07
France : BNP Paribas conteste tout lien avec les atrocités au Soudan
01:03
Afrique du Sud : la DA veut faire abroger des lois en faveur des Noirs
01:18
Cameroun : la colère monte, l'opposition dénonce des fraudes électorales