Italie
Paul Pogba, pas encore tiré d’affaires. Moins d’un mois après sa suspension à titre provisoire le 11 septembre par l'agence italienne antidopage, le champion du monde, a appris vendredi que l'analyse de son échantillon B, réalisée jeudi, avait mis en évidence la présence des métabolites de testostérone, comme dans l'échantillon A.
Le milieu de terrain de la Juventus risque 4 ans de suspension conformément au code mondial antidopage. La suspension pourrait être réduite de moitié s’il parvient à démontrer la non-intentionnalité.
Bien plus, elle pourrait même être limitée à quelques mois si l’usage de la substance a eu lieu "hors compétition et n’est pas liée à son niveau de performance".
Son entourage avait fait savoir le mois dernier que ces métabolites de testostérone proviendraient d'un complément alimentaire prescrit par un médecin consulté aux Etats-Unis.
Pogba, 30 ans, a 7 jours pour présenter sa défense sur le plan sportif. Par ailleurs, le dopage étant considéré comme un délit en Italie, une information judiciaire va être ouverte par le parquet de Turin.
Depuis l'annonce de son contrôle positif, Pogba ne peut plus s'entraîner avec la Juventus Turin, club où il est revenu en juillet 2022 après six saisons à Manchester United. le club piémontais a également suspendu le versement de son salaire estimé à 8 millions d'euros par an jusqu'en 2026, n'a pas encore réagi. L'entraîneur de la Juve Massimiliano Allegri qui s'est simplement dit "désolé pour Paul".
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