Etats-Unis
La conversation a duré 45 minutes. Samedi après-midi, heure de Paris, Donald Trump et Vladimir Poutine se sont parlé au téléphone.
Ils se sont engagés “à développer des relations d‘égal à égal”, selon le Kremlin, pour lutter contre le terrorisme international en général et le groupe Etat islamique en particulier.
Les deux présidents s‘échangent des amabilités depuis plusieurs semaines. Mais pas question à ce stade pour Donald Trump d’envisager de lever les sanctions imposées à la Russie après l’annexion de la Crimée en mars 2014.
Poutine et Trump d’accord pour “développer” des relations “d‘égal à égal” https://t.co/ip1VVxkyYk pic.twitter.com/8qKVhuCjkR
— lalibre.be (@lalibrebe) 28 janvier 2017
Après une conversation avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe, qu’il rencontrera à Washington le 10 février, Donald Trump s’est également entretenu avec Angela Merkel.
Ces derniers sont tombés d’accord pour déclarer conjointement que l’OTAN demeurait d’une “importance fondamentale” tout en rappelant que les membres de l’Alliance atlantique devaient chacun payer une juste contribution à leur sécurité collective. Un équilibre dans la formulation qui rassure à la fois Berlin tout en reprenant les griefs du président américain contre les mauvais payeurs de l’OTAN.
Donald Trump a par ailleurs accepté de se rendre en Allemagne. Il participera au G20 en juillet à Hambourg.
Le président des Etats-Unis a eu également un échange avec le président français. François Hollande l’a mis en garde “contre les conséquences économiques et politiques d’une approche protectionniste”, selon un communiqué de l’Elysée.
Avec Agences
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