Libye
Ces hommes attendent d’être expulsés dans leur pays d’origine. Ici dans le centre de détention de Tarik al Sikka en Libye, ce sont au total plus de 250 migrants africains, mais aussi asiatiques qui vont devoir rentrer chez eux.
Une opération qui se fait en présence du ministre de l’Intérieur du pays, Imed Trabelsi.
"Aujourd'hui, un groupe d'individus de différentes nationalités va être expulsé de ce centre de détention. Il s'agit de personnes originaires de Somalie, du Niger, du Tchad, du Soudan, du Bangladesh et du Nigeria", explique Imed Trabelsi.
Le mois dernier, une centaine de Nigérians avaient été rapatriés dans le cadre du programme des retours volontaires.
Depuis la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye, plongée dans le chaos, est devenue une plaque tournante de l’immigration.
01:22
USA : un candidat d'origine ougandaise favori pour la mairie de New-York
01:05
USA : à New-York, fermeture du centre d'accueil de migrants du Roosevelt Hotel
01:09
USA : la Cour suprême autorise l'expulsion de migrants vers des pays tiers
02:19
Grèce : 10 ans depuis la crise migratoire à Lesbos
01:15
USA : 25 autres pays africains sous la menace de la "travel ban"
Aller à la video
La Cour Européenne exonère l'Italie des actions des garde-côtes libyens