Algérie
Le MSP, principal parti islamique, a annoncé par la voix de son représentant Adberrazak Makri ne pas vouloir faire partie du prochain gouvernement.
Le mouvement de la société pour la paix avait remporté près de 6 % des suffrages lors des élections législatives du 12 juin, le plaçant en troisième parti le plus important à l'assemblée.
"Malheureusement, ce qui nous a été proposé ne nous permettra pas d'avoir un impact sur les décisions politiques et économiques comme nous l'avions promis à nos élus", a déclaré le chef du MSP Abderrazak Makri lors d'une conférence de presse. "Nous n'avons même pas eu l'occasion de discuter des départements qui pourraient nous être attribués, nous n'avons aucune perspective, aucune même pour avoir une discussion, un dialogue ou un échange."
C'est à l'ancien ministre des finances Aïmene Benabderrahmane que revient la lourde tâche de former un gouvernement. Nommé Premier ministre hier par la présidence, il doit poursuivre les consultations avec les différents partis politiques et la société civile. Le précédent gouvernement avait été incapable de redresser la crise économique que traverse le pays.
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