Maroc
Le Maroc occupera une place de choix dans la politique étrangère d’Alain Juppé, s’il est à la tête de la France en 2017.
Le candidat à l’investiture républicaine en France l’a fait savoir dimanche à Casablanca, où il était en campagne. Promettant notamment d’intensifier les relations séculaires entre la France et le Maroc, une fois à l’Elysée.
« Le Maroc est un pays ami pour la France et les Français. Les relations entre la France et le Maroc sont d’une intensité exceptionnelle et doivent le rester. Si demain je dois exercer des responsabilités nationales, ce sera à l’évidence l’un des axes forts de ma politique étrangère », a-t-il déclaré.
Le maire de Bordeaux a notamment vanté la stabilité du Royaume chérifien. Le Maroc apparaît pour Alain Juppé comme ‘‘un pôle de stabilité’‘, dans une région qu’il qualifie ‘‘d’instable’‘. Une stabilité que l’ancien Premier ministre français juge ‘‘précieuse pour [son] pays’‘.
Pour mettre cette volonté en pratique, Alain Juppé sait qu’il lui faut surmonter deux obstacles majeurs : les primaires des Républicains en novembre prochain et le cas échéant, la présidentielle française de 2017.
Sont déjà en lice pour défendre les couleurs des Républicains en 2017, outre Alain Juppé, François Fillon, Nadine Morano, Jean-François Copé, Hervé Mariton, Frédéric Lefebvre, Nathalie Kosciusko-Morizet, entre autres.
Nicolas Sarkozy entretient encore le suspens. Sa candidature, selon les analystes, ne fait cependant aucun doute.
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