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''L'Amérique d'abord'', la politique étrangère de Trump

''L'Amérique d'abord'', la politique étrangère de Trump

Etats-Unis

Donald Trump a dévoilé à Washington sa vision de la politique étrangère américaine, s’il est élu, promettant de faire disparaître Daech et de renouer les liens avec la Russie et la Chine.

Donald Trump s’est déjà mis dans le costume du candidat du parti républicain à la prochaine présidentielle des Etats-Unis. Fort d’une avance insurmontable sur ses adversaires aux primaires, le milliardaire américain dresse déjà la feuille de route de sa politique étrangère, s’il est élu président. Une politique qui repose sur des piliers tels que le protectionnisme ou la nécessité de redorer le prestige de l’Amérique dans le monde, mais aussi sur un slogan : “L’Amérique d’abord”. « Ma politique étrangère placera toujours les intérêts des Américains et la sécurité de l’Amérique avant toute autre chose. Ce sera la priorité. Ce sera la base de chaque décision que je prendrai. », a-t-il indiqué.

Le favori à l’investiture démocartique ne s’est pas empêché non plus de critiquer l’administration Obama. Il reproche, notamment, l’actuel patron de la Maison Blanche d’avoir abandonné certains alliés, comme Israël, ou le président égyptien Hosni Moubarak en 2011, et ce n’est pas tout. « Nous sommes allés d’erreurs en erreurs en Irak, en Egypte, en Libye jusqu‘à suivre le président Obama dans le sable en Syrie. Chacune de ces actions a contribué à semer le chaos dans ces régions et à donner à l‘État islamique plus d’espace pour se développer et prospérer. », a poursuivi Trump.

Le milliardaire promet donc une guerre sans merci au terrorisme. Chacune de ces actions a contribué à semer le chaos dans ces régions et à donner à l‘État islamique plus d’espace pour se développer et prospérer. Tout en critiquant l’endettement des Etats-Unis, il s’est engagé à « dépenser ce qu’il faut » pour augmenter le budget de la défense.
Il n’a pas non plus oublié les alliés de l’OTAN, soulignant que « les Etats-Unis doivent être prêts à laisser ces pays se défendre eux-mêmes ».

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