Mozambique
Amnesty International demande aux autorités mozambicaines d'enquêter sur les homicides et sur toutes les violations des droits humains commises au lendemain de l'élection du 9 octobre 2024.
L’organisation internationale des droits de l’homme a demandé que les responsables de l’application des lois soient traduits en justice.
En 2024, des milliers de mozambicains ont pris part à des vagues de manifestations dans les semaines qui ont suivi l’élection présidentielle et parlementaire.
Alors que le parti au pouvoir le Frelimo a été déclaré vainqueur malgré les allégations de fraude et de trucage soulevées par des adversaires et les observateurs internationaux, ces manifestations visant à soutenir Venancio Mondlane qui s’était présenté en tant que candidat indépendant soutenu par le parti d’opposition Podemos se sont intensifiées.
Selon Amnest International, les forces de sécurité du Mozambique ont mené pendant trois mois une répression brutale contre les manifestants après les élections de l'année dernière.
L'organisation a cité des militants locaux qui affirment que plus de 300 personnes ont été tuées et plus de 3 000 ont été blessées lors de ces troubles.
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