Maroc
Le breakeur marocain Bilal Mallakh représentera l'Afrique aux Jeux olympiques de Paris 2024. À quelques semaines du lancement de l'événement, le danseur se prépare intensément avec son coach.
Pour la première fois, le breakdance fait son entrée dans la liste des compétitions aux Jeux olympiques de Paris 2024. Cette discipline verra la participation de Bilal Mallakh.
Ce prodige marocain du breakdance est le premier africain à se qualifier pour les JO. Mais avant de fouler le parquet des salles parisiennes, Bilal poursuit son entraînement intensif, avec des figures acrobatiques au sol et des poses énergiques afin de représenter le continent au plus haut niveau.
Avec l'arrivée du breakdance aux JO, une nouvelle ère commence pour cette discipline. Au Maroc, la communauté des breakdancers, bien que petite, est en pleine croissance et pleine d'espoir pour un avenir prometteur.
«Dans notre pays, ça s'améliore. Le breakdance est maintenant aux Jeux Olympiques, ce qui est une bonne chose. Cela aidera beaucoup de gens à voir le breakdance sous un autre angle. J'espère que le breakdance pourra s'améliorer. Je vois qu'il y a une communauté de breakdancers au Maroc. Elle est encore petite, mais j'espère qu'elle grandira avec le temps», explique Bilal Mallakh.
Dans sa préparation, Bilal peut compter sur son coach pour pousser sa performance au maximum. Outre les techniques à mettre en place, l’accent est également mis sur la préparation mentale.
«C'est un peu mental, c'est un peu de précision. On fait les dernières touches pour avoir une grande performance. Je pense que Bilal a beaucoup évolué grâce à son esprit de sacrifice et à nos entraînements», confie le coach Rachid Rachid.
De la rue aux JO, Bilal poursuit son rêve. Désormais ambassadeur du Maroc et de l’Afrique, il espère maintenant se faire une place parmi les grands.
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