Maroc
Robert Mugabe peut enfin souffler. La toile s’est trouvé un sujet de discussion, notamment autour de la somnolence lors de cérémonies officielles. Et cette fois, c’est Mohamed VI, le roi du Maroc qui en est l’objet. Le souverain marocain a été surpris en train de piquer un petit somme lors du discours du président français Emmanuel Macron à l’occasion du centenaire de l’Armistice, ce dimanche, à Paris.
Il n’en fallait pas plus pour déclencher un déluge de commentaires sur les réseaux sociaux où les internautes ont généralement tenté de trouver des circonstances atténuantes au roi marocain. Si d’autres évoquent son rythme de travail acharné et son état de santé réduit, certains ont plutôt accusé le ton « soporifique » du discours du président français.
Les partisans de cette thèse en veulent d’ailleurs pour preuve le fait que plusieurs chefs d’Etat dont Vladimir Poutine de la Russie ou encore la chancelière allemande Angela Merkel se sont laissés emporter par Morphée.
Au Maroc, cette polémique a laissé de marbre la presse officielle. Une option à l’opposé de celle que choisissait à l‘époque la communication de l’ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, raillé pour des « flagrants délits de sieste » en public. Son porte-parole avait à ce propos déclaré, en mai 2017, que Mugabe ne dort pas lors de prestations publiques, mais il « repose ses yeux ».
Et visiblement, il n’est pas le seul à le faire.
#Centenaire1918
Le roi du Maroc dort pendant le discours de Macron pour le #11novembre.
Regardez le regard de Trump ? pic.twitter.com/4fYfqXWfg1— Alex (@AlexLeroy90) 12 novembre 2018
01:00
No Comment : le Beaujolais nouveau 2024 est arrivé
01:56
Niger : des manifestants accusent la France de tentative de déstabilisation
Aller à la video
Maroc : que révèle le "contrôle" des prédications évoquant la guerre à Gaza ?
01:00
No Comment : Juliette Binoche lance la saison des vitrines de Noël à Paris
00:51
Football : Man City condamné à verser plusieurs millions à Benjamin Mendy
01:02
Algérie : la boxeuse Imane Khelif porte plainte pour "harcèlement moral"