The Morning Call
La plongée des cours des matières premières a mis au-devant de la scène l’importance des autres produits de rente. On comprend en définitive qu’il n’y a pas que le pétrole et qu’il y a une vie après le pétrole. Les locomotives comme les pays du golf ont entrepris une diversification de leurs économies.
En Afrique, une observation empirique permet de constater que les pays qui ne misent pas essentiellement sur le pétrole comme le Kenya, L’Ethiopie, le Ghana, La côte d’Ivoire, le Cameroun s’en sorte mieux que l’Angola, le Nigeria, le Congo entre autres.
Et ce grâce aux matières premières.
Mais force est de constater qu’on ne valorise pas suffisamment les chaines de valeur. Tout se passe comme s’il y avait une répartition sociale des rôles. C’est comme si on disait à l’Afrique:” Produis et tais-toi “.
Dans la jungle du business international, la seule alternative est la solidarité, la mutuelisation des moyens!!
Pourquoi la Côte d’Ivoire et le Ghana qui produisent au moins 60 % du cacao mondial ne seraient-ils pas la locomotive d’une croisade pour la maîtrise de ce produit ?
08:00
Sidi Ould Tah, un leader pour réformer la BAD ?
01:08
La Russie et l'Égypte accélèrent leur coopération économique
01:01
Zambie : les USA réduisent leur aide de 50 millions de dollars
11:19
Souveraineté énergétique grâce à la croissance minière [Business Africa]
Aller à la video
Ces entrepreneurs africains qui façonnent le football mondial
Aller à la video
Comment l'IA pourrait transformer l'économie africaine