Burkina Faso
Des attaques djihadistes ont coûté la vie à une cinquantaine civils depuis mai au Burkina Faso. C’est ce qu’a révélé lundi Human Rights Watch.
Il s’agit de trois opérations menées par des groupes liés à Al-Qaïda et au groupe État islamique.
L’organisation de défense des droits de l’homme exhorte les dirigeants du pays d’Afrique de l’Ouest à renforcer la protection des civils dans un contexte sécuritaire qui inquiète.
Le régime militaire dirigé par le capitaine Ibrahim Traoré, au pouvoir au Burkina Faso depuis 2022, peine à contenir les groupes armés actifs dans plusieurs régions. Les forces loyalistes et leurs supplétifs sont accusés de massacrer les civils par Human Rights Watch.
Alors que la lutte contre les terroriste était l'une des promesses de la junte militaire après son coup d'État.
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