Nigéria
Des acteurs politiques africains ont débattu ce mardi du rôle que devraient (ou doivent) jouer les technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’organisation des élections en Afrique.
Cette réunion dite de « haut niveau » a eu pour cadre la bibliothèque d’Olusegun Obasanjo, ancien président nigérian à Abeokuta, dans l‘État d’Ogun, dans le sud-ouest du Nigeria.
Initiative à laquelle se sont associés d’autres acteurs politiques africains. Le cas d’Ernest Bai Koroma, ancien président de Sierra Leone, et John Dramani Mahama, ex chef de l‘État du Ghana et Raila Odinga, opposant et ancien Premier ministre kényan.
Selon Odinga, la réunion a porté sur la limitation des applications électroniques au profit à des fins de fraudes. L’ancien Premier ministre a été victime d’une manipulation technologique lors des élections générales au Kenya en 2017.
Des manipulations, c’est ce que craignent l’opposition et de nombreux observateurs en RDC qui demandent au pouvoir de renoncer à l’utilisation de la machine à voter. Une doléance que le pouvoir semble ignorer jusqu’ici.
Aller à la video
Finlande : 5 suspects arrêtés pour violences séparatistes au Nigeria
00:58
Somaliland : l'opposant Cirro remporte la présidentielle
00:51
Gabon : la nouvelle Constitution approuvée à 91,8% des voix
01:00
Miss Univers : la Nigériane Chidimma Adetshina sacrée pour l'Afrique
01:16
Mozambique : le gouvernement interdit les manifestations post-électorales
00:59
Législatives au Sénégal : dernier de jour de campagne