Ghana
Le Ghana n’a pas l’intention de rompre totalement ses relations avec le FMI.
Le ministre des Finances Ken Ofori-Atta a déclaré que le Ghana continuerait à soumettre ses finances publiques à la surveillance du Fonds monétaire international, malgré la fin de son programme de sauvetage avec le FMI en avril prochain.
Accra cherchera d’autres formes de coopération avec le FMI, comme le programme d’instrument de soutien aux politiques, d’après Ofori-Atta.
Le pays s’engagera ainsi à “mener un dialogue politique étroit” et à réaliser des évaluations semestrielles des politiques économiques et financières.
Le Ghana s’est engagé avec le FMI en 2015 à suivre un programme de facilité de crédit élargi de près d’un milliard de dollars, suite à des dépenses excessives et à la dépréciation du cédi, la monnaie locale, par rapport au dollar.
Depuis son arrivée au pouvoir en janvier dernier, le gouvernement du président Nana Akufo-Addo, a presque réduit de moitié le déficit budgétaire et introduit des réformes pour maîtriser les dépenses et freiner l’inflation.
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