République démocratique du Congo
Ils les auraient tué en 2016, précisément durant la période précédant la signature de l’accord dit de la Saint-sylvestre sur la transition politique au sommet de l’Etat congolais.
Dans un rapport qu’il vient de publier intitulé “Rapport sur les violations des droits de l’homme en république démocratique du Congo dans le contexte des évènements du 19 décembre 2016, le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme révèle qu’au moins 40 civils ont été tués et 147 autres blessés par les forces de l’ordre de la République démocratique du Congo l’année passée, dans plusieurs villes dont la capitale Kinshasa ou encore Lubumbashi.
Ces meurtres et arrestations de journalistes et de membres de la société civile ont été commis durant la période autour du 19 décembre 2016, moment de forte agitation sociale marquée par des manifestations de l’opposition qui demandait notamment le départ du président Joseph Kabila à la fin de son mandat.
Selon l’ONU, qui déplore l’absence d’enquêtes initiées par les autorités, ces abus ont été le résultat d’un “usage disproportionné de la force”, et du recours à des armes létales face à des individus censés être sans armes. Pour sa part, Kinshasa a rejeté la faute des violations décriées par les Nations unies sur l’opposition.
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