Allemagne
Un nouveau constat scientifique qui sonne comme un nouveau cri d’alarme… 2017 s’apprête à devenir l’année la plus chaude jamais recensée si l’on exclut les années où El Nino a sévi. C’est l’Organisation météorologique mondiale qui l’annonce dans un bilan publié en marge de la COP23. La conférence s’est ouverte à Bonn sous la présidence du chef du gouvernement fidjien, Frank Bainimarama, qui a appelé à agir urgemment contre le réchauffement planétaire.
“We need to keep our #ClimateAction commitments in full, not back away from them”, says #COP23 President Frank Bainimarama #ParisAgreement pic.twitter.com/zqEVAFVZMy
— UN Climate Change (@UNFCCC) November 6, 2017
“C’est un signal important que les îles Fidji occupent la présidence cette année, a pour sa part déclaré Barbara Hendricks, la ministre allemande de l’Environnement. Cela attire l’attention sur l’un des problèmes centraux de la politique climatique : les effets du changement climatique sur les petits Etats insulaires. Nous avons convenu à Paris de maintenir le réchauffement climatique sous les 2 degrés Celcius, et même de le limiter à 1,5 degrés si possible. Cette limitation à 1,5 degrés est particulièrement importante pour les petits Etats insulaires.”
196 pays sont réunis jusqu’au 17 novembre, y compris les Etats-Unis dont le retrait de l’accord sur le Climat interviendra dans trois ans. Objectif : rediscuter des engagements pris par chaque pays alors que l’on sait d’ores et déjà qu’ils seront insuffisants en l‘état et préciser les règles d’application.
Avec AFP
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