Japon
Toyota implantera dans un future proche une usine de montage de véhicules en Côte d’Ivoire, en tout cas, c’est ce qui ressort l’accord signé par le gouvernement ivoirien et le constructeur automobile japonais.
Le mémorandum d’accord a été signé jeudi à Yokohama lors de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad).
Dans les couloirs de la foire économique Japon Afrique. La réponse des entreprises et de la société civile japonaise est sans appel.
« C’est bien. C’est très très bien. Jusqu‘à présent, notre coopération économique était restée une coopération publique, étatique… Mais s’il n’y a pas de coopération économique, commerciale privée, ça ne se développe pas », a déclaré Kazuhiko Fujita, ancien diplomate japonais.
Du côté de l’Afrique, certains pays ont d’ores et déjà décidé de mettre en avant le secteur prive pour piloter leurs relations économiques avec Tokyo. C’est le cas de l’Angola.
« Nous sommes venus avec des entreprises angolaises, elles sont représentées par leurs produits. Nous voulons qu’elles rencontrent les entreprises japonaises. Et nous voulons que les entreprises japonaises investissent aussi en Angola », a estimé Cândido Cornelio, directeur d’une agence angolaise d’investissement privée.
Renforcer les relations économiques avec l’Afrique passe, pour le Japon, par la fourniture de services de qualité. L’idée est de se démarquer de la Chine perçue ici comme le grand rival sur le continent.
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