Zimbabwe
Le départ de Robert Mugabe du pouvoir, après 37 ans de règne sans partage avec un bilan économique peu flatteur pourrait permettre au Zimbabwe de renouer avec les bailleurs de fonds internationaux.
La semaine dernière en effet , une mission du Fonds monétaire international s’est rendu à Harare pour prendre langue avec les nouvelles autorités.
A l’issue de la mission, William Murray le porte parole du Fonds lors d’un point de presse à Washington, a déclaré que le nouveau gouvernement zimbabwéen s’est engagé à s’attaquer à la situation économique ; marquée par un déficit budgétaire insoutenable, des pénuries de liquidité «sévères», et une hyper inflation qui paralyse l‘économie.
Les premières mesures du président Emmerson Mnangagwa appaîssent comme des signaux à l‘égards de la communauté internationale.
Il a par exemple promis – de ramener la participation des capitaux nationaux dans les mines à 49 % et de restituer les terres aux fermiers blancs expropriés en 2000.
Mais la tâche s’annonce âpres . Le Zimbabwe devra appuré ses arriérés auprès des institutions internationales et les autres créanciers, pour retrouver la confiance de la communauté financière internationale.
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