Azerbaïdjan
À Bakou, la délégation afghane participe pour la première fois depuis le retour des talibans au pouvoir aux négociations climatiques des Nations Unies.
Matuil Haq Khalis, chef de l'agence afghane de protection de l'environnement, a rappelé l’extrême vulnérabilité de l’Afghanistan face au changement climatique, classé parmi les six pays les plus menacés par le réchauffement global.
La délégation espère mobiliser la communauté internationale pour soutenir ses plans d’action climatique et la transition vers des énergies renouvelables, notamment l’énergie solaire et éolienne, secteurs où le pays possède un potentiel encore inexploité.
En mars dernier, le nord de l’Afghanistan a connu des inondations meurtrières, tuant plus de 300 personnes. Les experts notent que les précipitations extrêmes ont augmenté de 25 % en 40 ans, rendant le soutien international plus crucial que jamais. Matuil Haq Khalis a également demandé des rencontres bilatérales avec plusieurs pays, dont les États-Unis, pour transmettre « le message du peuple afghan » à la communauté internationale.
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