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Nigeria : vaccination de masse pour protéger le bétail des maladies endémiques

Nigeria : vaccination de masse pour protéger le bétail des maladies endémiques

Nigéria

La demande croissante de bœuf au Nigeria nécessite une préoccupation et des efforts croissants pour éliminer les zoonoses négligées qui peuvent facilement se transmettre à l’homme, selon l’Organisation mondiale de la santé, OMS.

Avec plus de 200 millions de personnes et une classe moyenne émergente, le Nigeria connaît un boom de la demande de viande qui offre du potentiel mais aussi des risques pour les éleveurs semi-nomades qui fournissent l’essentiel de sa viande bovine.

Selon les estimations du gouvernement, le Nigeria consomme 360 ​​000 tonnes de boeuf chaque année, ce qui représente la moitié de toute l’Afrique de l’Ouest.

Ce boeuf, s’il ne provient pas d’animaux en bonne santé, produit au moins 61% de tous les agents pathogènes humains, ce qui représente 75% de tous les agents pathogènes au cours de la dernière décennie.

Une préoccupation qui a conduit à une vaste campagne de vaccination gratuite des bovins dans certains États du nord du Nigeria.

‘‘Cette vaccination et cette maladie ciblées ont pour but de lutter contre les champignons pathogènes contagieux qui affecte les poumons des bovins et de certains autres ruminants. Plus encore, elle tue des troupeaux dans un GV. Et cela a une grave conséquence économique dans le sens ou si la maladie est détectée dans un troupeau de bovins, elle les infectera et elle passera d’un bétail à l’autre. Même à partir de la salive… D’un terrain, des pâturages et d’abreuvements communs. Et vous savez qu’un bovin ira pour cent deux à deux cent mille nairas (120 000 à 200 000 N). Vous pouvez donc imaginer quand une population de bovins est tout simplement anéantie.’‘ Explique le docteur Bartholomew Nyalas du ministère de la production animale de l‘état de l’Adamawa.

Endémique, la maladie à déclaration obligatoire classée de grade 1 par l’OMS et la FAO et doit aussitôt être signalée une fois détectée. Les risques sont d’autant élevés à cause des nombreux déplacement et migrations du bétail entre certains pays de l’Afrique centrale et ceux du golfe de guinée. Cet exercice contribuerait à réduire la mortalité causée par les zoonoses négligées chez les bovins. Le docteur Mohammed Jika, exerce dans l‘État de l’adamawa.

‘‘Ces derniers temps, il y a eu des rapports sur cette maladie, et vous pouvez trouver tous nos bovins malades, il y a tellement de maladies comme la toux des bovins et la fièvre qui les affectent. C’est pourquoi nous sommes maintenant ravis et heureux que cette vaccination soit administrée à nos bovins. ‘’

‘’ Ce n’est pas seulement à un niveau gouvernemental, nous avons un système de gouvernement fédéral dans ce pays, le gouvernement fédéral devrait y participer, ainsi que les États et les gouvernements locaux. Même nous, les représentants et à un niveau personnel, nous devrions être en mesure d’aider et d’aider à vacciner et d’aider afin que si demain il faut construire te mettre sur les pieds des ranchs, ils puissent l’adopter sans problème. Mais vous devez le faire et démontrer une sorte de sincérité et de sérieux dans les affaires des bergers. ‘’ plaide l’honorable Abdulrazak Namdas, membre chambre des représentants.

Selon le parlementaire Namdas l’exercice arrivé à un moment où une campagne pour la création de ranchs est lancée par le gouvernement. Ces vaccins peuvent prévenir un large éventail de maladies qui réduisent la production, la fertilité et la mort des bovins et les pertes économiques pour les producteurs.

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