Education
Si l’avenir du monde dépend en grande partie de la jeunesse, les enfants ont besoin de grandir dans un champ de paix. Une paix tributaire du respect de plusieurs droits de l’enfant dont l’accès à l‘éducation.
L’humanité célèbre ce 20 novembre la Journée internationale des droits de l’enfant. Conformément à la philosophie du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), il s’agit de promouvoir les droits de ceux-là que nous avons fait venir au monde. Contre leur gré bien entendu.
Depuis son institution en 1954, la journée de l’enfance est toujours placée sous un thème précis. Et cette année, l’UNICEF veut que « Les enfants prennent les commandes et peignent le monde en bleu ».
Un monde en bleu qui, à l’instar de l’azur infini, est l’expression d’un bonheur édénique sans anicroche. Un tel monde apparemment utopique est pourtant possible à en croire l’UNICEF. Pourvu que les enfants jouissent de leurs droits les plus absolus. Parmi ces droits, l‘éducation ainsi que notifié dans l’article 7 de la déclaration universelle des droits de l’enfant de 1959.
Or, c’est là que le bât blesse jusqu’ici. Enrôlement des enfants dans les conflits, violences de toutes sortes dans les écoles, inefficacité de politiques éducatives dans de nombreux pays, surtout en Afrique, … Que d’obstacles érigés sur le chemin de l‘école !
Il s’agit pour l’UNICEF de faire sauter ces barrières pour que les enfants accèdent à l‘éducation qui est un véritable antidote contre des fléaux comme la violence, un facteur de consolidation de la paix et de l’unité.
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