Kenya
Le chef de l’Etat kényan et le premier ministre haïtien Ariel Henry, en déplacement à Nairobi, ont « discuté des prochaines étapes pour permettre l’accélération du déploiement » d’une mission internationale soutenue par les Nations unies destinée à stopper les gangs qui sévissent en Haiti.
Face aux appels du gouvernement haïtien et de l’ONU, le Kenya avait accepté de mener cette force de 2 500 soldats.
Ariel Henry, Premier ministre d'Haïti, explique qu"En raison de la violence, il est impossible d'organiser des élections".
"Nous avons besoin d'une gouvernance démocratique pour permettre aux investisseurs potentiels de venir s'installer en Haïti." a-t-il ajouté.
Fin février, cinq pays, dont le Bénin avec plus de 1 500 hommes, ont notifié à l’ONU leur participation à la future mission. Les autres membres de cette mission sont les Bahamas, le Bengladesh, la Barbade et le Tchad, a affirmé le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric.
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