The Morning Call
Les “panamas papers” et les” paradises papers” ont mis en exergue l’ampleur des flux financiers illicites et par ricochet leur nocivité pour le développement économique de l’Afrique.
Les trafics financiers illicites sont alimentés par une infrastructure. Elle intègre les paradis fiscaux et une armée de mercenaires constituée de cabinets fiscaux, cabinets d’avocats et de certaines banques.
Un vampirisme qui à la longue menace même l’existence des États africains.
Les flux financiers illicites représentent en effet 63 % du PIB du Togo en 2015 d’après l’ONG américaine Finance integrity.
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