Algérie
Face à la police, la rue algérienne maintient la pression sur le pouvoir.
Mardi, les étudiants ont manifesté devant le siège de la poste à Alger contre le chef de l’armée, le général Ahmed Gaïd Salah.
Le vice-ministre de la Défense occupe le devant de la scène depuis l’annonce de la démission d’Abdelaziz Bouteflika. Son pouvoir s’est encore un peu plus renforcé après que Tayeb Belaiz, le président du Conseil constitutionnel a lui aussi annoncé son départ mardi.
“On s’en fout de la démission de Tayeb Belaiz et d’Abdelkader Bensalah lance un étudiant de la faculté de médecine . Ce qui est important pour nous c’est de choisir notre président. C’est important que le président soit le choix de la majorité des gens, les solutions parcellaires ne nous intéressent pas. Nous voulons une solution définitive.”
Après le départ d’Abdelaziz Bouteflika début avril, la rue algérienne réclamait la démission non seulement du président du Conseil constitutionnel, mais aussi celle du président par intérim Abdelkader Bensalah et du Premier ministre Noureddine Bédoui.
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