Libye
Les combats se poursuivent hors du camp de Yarmuk, au sud de la capitale libyenne. Et la population civile au même titre que les migrants et refugiés sont des victimes collatérales de ces violents affrontements.
Les milices tripolitaines se battent au nom du gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale et dirigé par Fayez al-Sarraj.
Dépourvu d’armée et de forces de sécurité régulières solides, le GNA est contraint de s’appuyer sur ces milices pour combattre le gouvernement non reconnu est incarné par l’homme fort de l’Armée nationale libyenne (ANL), le maréchal Khalifa Haftar.
“Si Dieu le veut, nous aurons la victoire. Soit nous gagnons, soit nous mourons, et si vous (Haftar et ses forces) voulez entrer par la force, nous ne permettrons pas que cela se produise, et avec un peu de chance, nous serons victorieux” a déclaré Abdulaziz, combattant pro-GNA.
Selon des sources horspitalières à Tripoli, au moins six personnes, dont des enfants, ont été blessées dimanche dans un raid aérien contre un centre équestre près de la capitale libyenne.
Face à ces attaques répétées contre des “cibles civiles”, le GNA a appelé de nouveau la communiqué internationale afin qu’elle “dépêche une mission d’enquête”, en vue de “documenter ces violations graves” et inscrire le maréchal Haftar “sur la liste des sanctions internationales”.
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