Afrique du Sud
À peine ouvert, le procès pour corruption de Jacob Zuma, a été reporté au 1er août prochain par la Haute Cour de Pietermaritzburg.
Une date fixée dans l'attente de la finalisation de la demande de réexamen déposée par l'ex-président sud-africain auprès de Mandissa Maya, la présidente de la Cour suprême d'appel.
Jacob Zuma tentait d'y faire récuser le procureur principal, l'avocat Billy Downer, qu'il accuse de partialité à son égard. Les débats de mardi ont uniquement porté sur les dates possibles du procès, les demandes en cours et la disponibilité des avocats.
Accusés de corruption, de blanchiment d'argent et de racket dans le cadre d'un contrat d'armement de 2 milliards de dollars dans les années 90, Jacob Zuma et le représentant de la société d'armement française Thales n'étaient pas présents au tribunal.
Le procès pour corruption, qui dure depuis mai 2021, a fait l'objet de nombreuses tactiques dilatoires de la part de l'équipe juridique de l'ancien chef d'Etat, accusé entre autres d'avoir touché des pots-de-vin du groupe français Thalès.
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