Tunisie
Rached Ghannouchi, le chef du parti d’aubedience islamiste Ennahdha, principale force au Parlement tunisien, a appelé à “faire barrage à la corruption”. C’est dans la perspective des législatives du 6 octobre, qui l’opposent notamment au parti de l’homme d’affaires Nabil Karoui, soupçonné de blanchiment.
Rached Ghannouchi a estimé que les législatives devraient consacrer Ennahdha au coude à coude avec Qalb Tounes, le parti de M. Karoui, fait remarquer l’AFP.
Ce dernier s’est qualifié de son côté, au second tour de la présidentielle au détriment du candidat d’Ennahdha. Membre de la coalixion au pouvoir, Rached Ghannouchi a souligné qu’aucun de ses membres n’est accusé de corruption.
Une allusion à peine voilée à l’homme d’affaire Nabile Karoui, poursuivi par la justice depuis 2017 pour blanchiment d’argent et évasion fiscale, alors qu’il est qualifié pour le second tour de la présidentielle, probablement le 13 octobre prochain…
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