Plus de 48 heures après les faits, la traque se poursuit pour retrouver l'assassin de l’activiste proche de Donald Trump, Charlie Kirk, tué en en Utah, aux États-Unis.
USA : un témoin de l’assassinat de Charlie Kirk déplore les lacunes de sécurité
Henry Dells, un témoin de la fusillade, a répondu présent à l’appel des enquêteurs fédéraux après la publication des photos du présumé coupable.
« Cela s'est produit moins d'une minute après la fin de notre échange. Ça a peut-être mis une minute, un peu plus ou un peu moins. Mais c’était très rapide. Je parlais à une journaliste du Deseret News, puis j'ai levé les yeux parce que j'ai entendu un craquement. On aurait dit un pétard. J'ai regardé à ma droite, et j'ai vu Charlie avec beaucoup de sang qui jaillissait de son cou. Dès que j'ai vu ça, j'ai su qu'il n'allait pas s'en sortir. »
Mercredi, Henry comme plus de 3000 personnes s’était rendu au meeting en plein air de l’activiste conservateur Charlie Kirk sur le campus de l’université d’Utah Valley, avant que ce dernier ne soit transpercé d’une balle dans le cou.
Choqué par le meurtre de cet allié de Trump, il déplore le manque de sécurité sur le site.
« J'ai trouvé ça très, très bizarre. Quand je suis arrivé sur le campus, il n'y avait aucune sécurité. Absolument aucune quand j'ai regardé autour de moi. J'aimais bien Charlie, mais j'avais le sentiment étrange que s'il arrivait quelque chose, il serait dans une position très vulnérable. »
Une vidéo largement relayée sur la toile montre le tireur en fuite du toit du losee center, d'où il aurait tiré.
Les forces de l’ordre qui ont trouvé des indices une empreinte de paume, de chaussure et un fusil de chasse puissant sur le chemin emprunté par ce dernier, offrent une récompense de 100 000 dollars pour toute information menant à une arrestation.