Invité au sommet pour la démocratie, le président ghanéen a défendu sa politique. Aucune violation des droits de l'homme ni des libertés, n'a été observé dans son pays au cours de cette pandémie de coronavirus a t-il clamé devant le président américain Jo Biden et le secrétaire d'Etat américain
Ghana : le président Akufo-Addo s'engage à défendre la démocratie
Le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, présente sa déclaration nationale dans le cadre du sommet des dirigeants mondiaux de la conférence des Nations unies sur le changement
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HANNAH MCKAY/AFP
"C'est cet attachement aux valeurs et aux institutions démocratiques que nous sommes déterminés à protéger, même pendant cette crise que nous avons traversée, la pandémie. Et heureusement, et par la grâce de Dieu, elle a été plus ou moins maîtrisée. Les droits de réunion, les droits à la liberté d'expression, les droits d'association - aucun de ces droits n'a été restreint au cours de cette période."
Le Ghana s'est montré à plusieurs égards comme un pays ou les valeurs démocratiques sont respectées. Cependant, en juin, les dernières manifestations contre la cherté de la vie, et la mort d'au moins trois personnes dans des heurts avec la police avaient déclenché la colère d'une partie de la population ghanéenne.