Egypte
C’est le 23 mai prochain, que certains défenseurs des droits de l’homme en Egypte seront fixés sur leur sort.
Un tribunal égyptien a remis à plus tard sa decision sur la demande d’interdiction de voyager et de gel de leurs avoirs .
Un juge d’instruction a demandé à ce que Hossam Bahgat, journaliste et fondateur de l’Initiative égyptienne pour les droits personnels (EIPR), qui écrit pour le site d’informations en ligne Mada Masr, et Gamal Eid, avocat qui dirige le Réseau arabe pour l’information sur les droits humains, ainsi que sa femme et sa fille se voient imposer une interdiction de voyager et un gel de leurs avoirs.
John Kerry a déclaré qu’il était profondément préoccupé par la détérioration de la situation des droits de l’homme en Égypte, y compris la décision du pays de rouvrir une enquête sur les ONG.
En Fin mars, treize ONG internationales, dont Amnesty International et Human Rights Watch (HRW), avaient dénoncé la convocation par les autorités égyptiennes de membres d’organisations de défense des droits de l’Homme pour les interroger.
Depuis que al-Sissi, alors chef de l’armée, a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi, premier chef de l’Etat démocratiquement élu en Egypte, son régime réprime toute forme d’opposition.
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