Kenya
Le pays n’a pas respecté le délai imparti par l’Agence mondiale anti-dopage.
Sale temps pour le Kenya ces dernières semaines. L’Agence mondiale anti-dopage qui appelle à un plus grand encadrement des pratiques de tricherie dans le sport n’a pas reçu la copie de la Fédération nationale d’athlétisme sur sa capacité à encadrer les pratiques de tricherie sur les pistes du pays.
Les autorités de Nairobi doivent convaincre l’agence qu’elles sont prêtes à assainir les vestiaires du pays alors que des scandales de dopage traversent actuellement le monde de l’athlétisme.
“La plus grande menace pour la fédération kényane est une possible déclaration de non-conformité et de ses conséquences, avertit la responsable régionale de l’agence anti-dopage en Afrique de l’Est Christine Wambui. L’une d’entre elles est la capacité du Comité international olympique et d’autres grands organisateurs d‘événements sportifs de bannir les athlètes kényans”.
Pour l’instant cependant, rien ne semble encore décidé. Christine Wambui reconnaît que le gouvernement kényan travaille très dur pour respecter les délais de l’agence.
Plus de 40 athlètes ont été suspendus suite à des accusations de dopage au cours de trois dernières années. Des voix s‘élèvent désormais au Kenya pour la mise sur pied d’une agence nationale anti-dopage.
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