L'afrique est-elle prête pour le e-learning ? [Sci tech]

Il ne fait aucun doute que la génération actuelle est inondée de technologies comme les téléphones intelligents, les tablettes et les lecteurs électroniques. Dans les pays développés, les enseignants, les parents et les élèves ont compris l’influence croissante de la technologie, de sorte que les investissements et les réactions dans ce ont été encouragés.

Par exemple, la plupart des écoles de ces pays ont pratiquement initiées des salles de classe en ligne.

En 2009, un État des États-Unis, la Californie, a adopté une loi qui exigeait que tous les manuels scolaires soient disponibles sous forme électronique d’ici 2020. En 2011, les législateurs d’un autre État, la Floride, ont également décidé que les écoles publiques doivent convertir leurs manuels scolaires en versions numériques.

Il est plus facile de dire que, compte tenu de ces développements, la familiarité des élèves et leur préférence pour la technologie se traduit par de meilleurs résultats d’apprentissage. Mais une étude du Forum économique mondial a montré que ce n’est pas nécessairement vrai.

Ici, en Afrique, les écoles ont du mal à avoir accès à du matériel de base pour rattraper leurs pairs des pays développés. Solomon Simukoko est un passionné de technologie et partage ses doutes à ce sujet.

Enfin, une école secondaire de deuxième cycle du Ghana a remporté le prix Global Innovative Award lors du Championnat mondial de robotique qui s’est tenu au Michigan, aux États-Unis ce mois-ci.

Le lycée Opoku Ware, basé dans la deuxième plus grande ville du Ghana, Kumasi, a battu les lycées du monde entier, y compris l’Inde, la Chine, l’Europe, le Pakistan et le pays hôte, les États-Unis, et a été sacré champion.

Les détails sont à retrouver avec Ignatius Annor sur votre chronique hebdomadaire Sci Tech dans le Morning Call.

@IgnatiusAnnor
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