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Football : la VAR expliquée lors du Mondial des clubs au Maroc

Football : la VAR expliquée lors du Mondial des clubs au Maroc
L'arbitre Janny Sikazwe de Zambie regarde la VAR pendant le match entre la Tunisie et le Mali au stade de Limbe, au Cameroun, le 12 janvier 2022   -  
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Royaume-Uni

L'International Board (IFAB) a autorisé mercredi que les arbitres expliquent au public les décisions de la VAR lors du Mondial des clubs de la FIFA, mais a refusé les remplacements temporaires en cas de commotions, a indiqué un responsable de la fédération anglaise de football.

Réuni mercredi à Wembley, l'IFAB a validé la proposition concernant la VAR pour le Mondial de clubs, du 1er au 11 février au Maroc, et le Mondial féminin qui se tient en Australie et en Nouvelle-Zélande, du 20 juillet au 20 août, a expliqué le directeur exécutif de la fédération anglaise de football (FA), Mark Bullingham.

Si les communications entre l'arbitre central et ceux chargés de l'assistance vidéo resteront confidentielles, la conclusion de leur discussion sera communiquée au public.

"Nous pensons que cela est important en termes de transparence, tout particulièrement pour les supporters dans le stade qui, à l'heure actuelle, ne reçoivent pas assez d'informations sur ces décisions", a indiqué Bullingham au sortir de la réunion.

En revanche, aucun accord n'a été trouvé sur la mise en place, toujours à titre d'essai, de remplacements temporaires en cas de commotions la saison prochaine.

Cette mesure, demandée par le syndicat mondial des joueurs FIFPro et le World Leagues Forum, représentant 40 ligues professionnelles, devait être testée en Premier League anglaise, en Ligue 1 française et dans la MLS américaine.

L'essai en cours, qui prévoit des remplacements définitifs, se poursuit sans limite de temps.

Les partisans des remplacements temporaires, à l'image de ce qui se fait dans le rugby, estimaient que cela faciliterait la prise de décision de sortir un joueur en donnant davantage de temps au staff médical pour rendre un avis mieux informé.

"Il y a différents points de vue et ils ont tous leur mérite. Je ne suis probablement pas la meilleure personne pour vous donner les arguments des deux côtés (Bullingham étant le représentant des pro-remplacement temporaire, NDRL), mais l'IFAB ne soutiendra pas cet essai pour le moment", a-t-il admis.

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