Jeux Olympiques de Tokyo 2020
Vingt athlètes, dont dix du Nigeria, ne seront pas autorisés à participer aux épreuves d'athlétisme des Jeux olympiques (JO) pour n'avoir pas respecté les règles de contrôles antidopage au cours de la période précédant les Jeux.
L'Unité d'intégrité de l'athlétisme (AIU), qui gère le programme antidopage pour ce sport, exige que les athlètes des pays classés "à haut risque" en raison de lacunes dans leurs programmes de contrôle soient soumis à trois contrôles sans préavis, hors compétition, dans les dix mois précédant un événement majeur.
Chacun des sept pays dits de "catégorie A" a eu au moins un athlète banni. Ces pays sont le Belarus, le Bahreïn, l'Éthiopie, le Kenya, le Maroc, le Nigeria et l'Ukraine. L'AIU n'a pas publié les noms des athlètes sanctionnés.
Le Kenya avait précédemment annoncé que deux de ses coureurs figurant parmi les 20 mentionnés, ne répondaient pas aux règlements. Leur retrait avait permis de faire de la place pour le champion du monde du 1 500 mètres, Timothy Cheruiyot, qui a le meilleur temps au monde cette année mais qui a étonnamment terminé quatrième lors des essais olympiques du pays.
Le président de l'AIU, David Howman, a déclaré qu'il y avait eu des améliorations dans les programmes de contrôle des pays de la catégorie A, "mais qu'il restait encore beaucoup à faire dans certaines circonstances".
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