Commonwealth
L'interview télévisée explosive du prince Harry et son épouse Meghan a, comme prévu, fait l’effet d’une bombe.
Le simple fait que nous soit racontés les dessous de la couronne était en soit un événement mais le contenu de ces révélations est ce qui a provoqué de vives réactions à travers le monde, et notamment sur le continent africain comme au Kenya et au Ghana.
Lundi, à Nairobi, les kényans étaient divisés. Certains ont réagi avec colère à l'allégation de Markle selon laquelle un membre de la famille royale était "préoccupé" par la couleur de la peau de son enfant à naître.
"Nous sommes très en colère de voir notre sœur africaine être harcelée parce qu'elle est noire. Lorsque la reine Elizabeth était ici et que son père est décédé alors qu'elle était au Kenya, un pays africain, nous ne lui avons montré aucun racisme et elle est restée ici sans que nous lui montrions aucune discrimination." s'est exprimée Sylvia Wangari, résident de Nairobi.
Selon Harry, le membre de la famille n'était ni la reine Elizabeth II ni le prince Philip, ce qui a suscité une vague de spéculations sur son identité.
Au cours des deux heures d'entretien avec Oprah Winfrey, Harry a également révélé que les problèmes avaient rompu les relations avec son père, le prince Charles, et son frère, le prince William, mettant en lumière la profondeur des divisions familiales qui ont conduit le couple à s'éloigner des fonctions royales et à déménager en Californie l'année dernière.
"Cette révélation brutale de Meghan ne fait que renforcer la perception d'abus et de préjugés raciaux que le gouvernement britannique a longtemps entretenue. Et en cette occasion spéciale de la Journée internationale du Commonwealth, je pense que c'est une honte pour la monarchie britannique, que des questions de cette nature sont soulevées en ce moment critique." a déclaré Kingsley Otoo, un résident d'Accra au Ghana.
Au cours des deux heures d'entretien avec Oprah Winfrey, Harry a également révélé que les problèmes avaient rompu les relations avec son père, le prince Charles, et son frère, le prince William
Le palais n'a pas encore répondu à l'interview.
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