France
L'onde de choc après la décapitation d'un enseignant en France, en région parisienne. Neuf personnes se trouvaient en garde à vue ce samedi, quatre membres de la famille et cinq autres individus. La victime, un professeur d'histoire de 47 ans, avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet. Toute la communauté éducative est traumatisée. Le ministre de l'éduation nationale Jean-Michel Blanquer a tenu à rassurer : "La peur n'est pas notre religion, a-t-il déclaré. Nous n'avons pas à avoir peur, je peux comprendre qu'un individu puisse avoir peur de ce qui se passe, et parmi ceux qui nous écoutent, il y en a qui peuvent avoir peur, c'est légitime, mais nous devons combattre cette peur et c'est pourquoi personne ne doit se sentir seul."
L'Elysée a annoncé qu'un hommage national sera rendu au professeur assassiné. Le drame s'est produit à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines. L'assaillant a été abattu par la police non loin du collège, à Eragny. Il s'agit d'un Russe tchétchène de 18 ans. Le procureur anti-terroriste a donné des précisions.
L'onde de choc après la décapitation d'un enseignant en France, en région parisienne. Neuf personnes se trouvaient en garde à vue ce samedi, quatre membres de la famille et cinq autres individus. La victime, un professeur d'histoire de 47 ans, avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet. Toute la communauté éducative est traumatisée. Le ministre de l'éduation nationale Jean-Michel Blanquer a tenu à rassurer : "La peur n'est pas notre religion, a-t-il déclaré. Nous n'avons pas à avoir peur, je peux comprendre qu'un individu puisse avoir peur de ce qui se passe, et parmi ceux qui nous écoutent, il y en a qui peuvent avoir peur, c'est légitime, mais nous devons combattre cette peur et c'est pourquoi personne ne doit se sentir seul."
L'Elysée a annoncé qu'un hommage national sera rendu au professeur assassiné. Le drame s'est produit à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines. L'assaillant a été abattu par la police non loin du collège, à Eragny. Il s'agit d'un Russe tchétchène de 18 ans. Le procureur anti-terroriste a donné des précisions.
"L'auteur des faits se trouvait devant le collège dans l'après-midi et avait sollicité des élèves afin de lui désigner la future victime, a indiqué le procureur national anti-terroriste Jean-François Ricard. La première exploitation de son téléphone, saisie à proximité de son corps, a permis de retrouver dans le bloc note le texte de la revendication."
L'assaillant était connu pour des antécédents de droit commun mais son casier judiciaire était vierge. Il n'était pas connu des services de renseignement pour radicalisation.
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