Algérie
Poursuivi pour « incitation à attroupement non armé » et « atteinte à l’unité nationale », le journaliste algérien Khaled Drareni vient d’être condamné à trois années de prison ferme.
Son tort : avoir suivi une manifestation du mouvement de contestation anti-régime « Hirak », soulèvement populaire qui a secoué l’Algérie pendant plus d’un an jusqu’à sa suspension il y a quelques mois en raison de la pandémie de Covid-19.
Dénonçant un dossier vide, son avocat pointe un jugement « très lourd » pour celui qui est en détention provisoire depuis fin mars dernier. Il s’agissait d’un test pour la liberté d’information et d’expression en Algérie estimaient les associations de défense des droits de la presse et de la protection des journalistes.
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