Zimbabwe
Estimant que la politique zimbabwéenne en matière des droits de l’homme ne s’est pas encore améliorée, les États-Unis ont prolongé les sanctions contre Harare. Un revers pour les dirigeants qui plaident en faveur de leur levée.
« Les actions et les politiques de ces personnes continuent de représenter une menace inhabituelle et extraordinaire pour la politique étrangère des États-Unis », a déclaré Trump dans un communiqué.
Ces personnes, ce sont ces 141 Zimbabwéens dont le président Emmerson Mnangagwa et son prédécesseur Robert Mugabe. L’administration américaine conduite par Donald Trump leur reproche de nombreuses violations des droits de l’homme. Notamment les atteintes à la liberté d’expression et surtout la répression dans le sang des manifestations pacifiques.
La prolongation de ces sanctions intervient malgré les appels lancés par les dirigeants africains, dont le président sud-africain Cyril Ramaphosa, en faveur de la levée des sanctions afin de donner au pays une chance de se relever de la crise économique.
Des appels auxquels le pays de l’Oncle Sam a opposé une fin de non-recevoir. Voilà un autre coup dur pour le régime Mnangagwa qui peine à se remettre d’une crise économique à la base d’un profond malaise social.
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