Guinée-Bissau
En Guinée-Bissau, les fonctionnaires continuent de faire pression sur le gouvernement.
Mardi, ils ont entamé une grève de 10 jours pour exiger une hausse du salaire minimum et de meilleures conditions de travail, selon leur syndicat.
La grève a été déclenchée par l’Union nationale des travailleurs de Guinée-Bissau (UNTG), la centrale majoritaire dans la fonction publique avec 8.000 membres sur quelque 13.000 fonctionnaires.
L’UNTG réclame un relèvement du salaire minimum de 19.200 francs CFA à 59.000 FCFA. A la fin du mois de mai, les salaires des députés ont été revus à la hausse. Et selon certaines sources, chacun des 102 législateurs devrait également recevoir un véhicule 4X4. Une situation inacceptable pour les syndicalistes.
La Guinée-Bissau est secouée par une crise politique depuis la destitution en août 2015 du Premier ministre, Domingos Simoes Pereira, chef du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert.
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