Cameroun
Le rapport 2017-2018 d’Amnesty International sur les violences dans les régions d’expression anglaise du Cameroun publié mardi passe mal à Yaoundé.
Les autorités camerounaises ont dénoncé un texte biaisé. Pour le ministre camerounais de la communication, je cite, ‘’ cette édition est entachée de grossiers mensonges, de déductions hâtives, et de manœuvres diffamatoires inadmissibles. Pour Yaoundé, cette façon, de faire de l’organisation s’inscrit dans une volonté de déstabilisation du Cameroun dans sa lutte contre le péril terroriste.
Mardi, Amnesty International avait accusé les forces de sécurité camerounaises d’avoir commis de violation des droits humains, dont des homicides illégaux, des exécutions extrajudiciaires, des destructions de biens. La liste comprend aussi des arrestations arbitraires et des actes de tortures perpétrés durant les opérations militaires.
L’organisation de défense des droits de l’homme a documenté 23 cas de torture qui auraient été commis dans le village de Dadi au sud-ouest en décembre de l’année dernière.
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