Zimbabwe
Après le départ forcé de Robert Mugabe, le président nouveau président Emmerson Mnangagwa avait promis de s’attaquer à la corruption au Zimbabwe. Il a ordonné à ses ministres et à de hauts responsables du pays de bien vouloir déclarer publiquement leur patrimoine d’ici à la fin du mois de février.
À cet effet, le secrétaire en chef du cabinet du président, Misheck Sibanda, a déclaré dans un communiqué qu’il était “désormais obligatoire pour les ministres, leurs adjoints, les hauts fonctionnaires et les chefs d’entreprise publiques de déclarer leurs avoirs”.
Et l’homme de poursuivre, soulignant que “le président s’attend à une coopération totale et urgente de tous les responsables concernés”.
Désormais, les fonctionnaires sont tenus de dévoiler leurs biens immobiliers et d’autres biens d’une valeur supérieure à 100.000 $.
Une première pour le Zimbabwe, qui tente d’attirer les investisseurs étrangers dans le but de mettre un terme à la politique de quasi isolement économique internationale observée par son prédécesseur Robert Mugabe.
Emmerson Mnangagwa participe actuellement au Forum économique mondial de Davos. Un voyage qui, à coup sûr, n’est pas fortuit.
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