Egypte
L’Egypte, le Soudan et l’Ethiopie ne parviennent toujours pas à accorder leurs violons depuis le début en 2012, des travaux du barrage de la Renaissance sur le Nil Bleu initiés par Addis Abebas. Pour l’Egypte, ce barrage réduirait ses approvisionnements en eau du Nil. Avis du reste rejeté par l’Ethiopie.
Pour tenter de trouver une issue à cette controverse, le Caire a appelé mardi à une expertise internationale sur l’impact environnementale de ce projet. La Banque mondiale est notamment proposée. C‘était lors de la rencontre entre les ministres des Affaires étrangères égyptien et éthiopien.
En 2015 déjà, l’expertise des sociétés françaises BRL et Artelia avait été sollicitée dans cette même optique.
En 2012, l’Ethiopie a lancé les travaux de construction du barrage dit de la Renaissance, avec une puissance annoncée de 6 000 mégawatts. Addis Abebas veut ainsi porter sa capacité hydroélectrique à 40 000 MW.
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