République Centrafricaine
La centrafrique craint de retomber dans l’oubli.
Mardi, avant le début de la réunion à huis clos présidée par le secrétaire général de l’ONU, le président centrafricain Faustin Archange Touadera s’est inquiété de la situation sécuritaire de son pays. Au cours d’une conférence de presse, il a appelé au soutien des principaux bailleurs de fonds et partenaires pour sortir le pays de la crise
“La République Centrafricaine vit un moment critique de son histoire si on ne nous appuie pas, c’est vrai il ya une volonté du peuple centrafricain, de tourner la page de cette crise, mais on a besoin encore de soutien de nos amis, si on le fait pas en moment il y a des risques c’est le message que nous voulons porté))
Alors que les violences dans le pays reprennent de plus belle, le gouvernement de Faustin Archange Touadera a du mal à établir son autorité au-delà de la capitale Bangui. La majorité du pays reste contrôlée par les groupes armés
“il y a effectivement l’embargo sur les armes en répubique centrafricaine, mais il ya aussi de s procédures d’exemption , nous sommes entrain de travailler spour remplir ses conditions d’exemption pour doter ses deux bataillons que nous allons former, sur place il ya du travail”
La centrafrique est suspendue aux résolutions de cette réunion, dont le communiqué final a souligné le renforcement des capacités des effectifs militaires de la Minusca.
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