Burundi
Dès lundi, plus de 300 détenus ont été remis en liberté devant le corps diplomatique.
Une première depuis le début de la crise politique que traverse le pays depuis près de deux ans.
Parmi les personnes élargies, se trouvent 58 activistes interpellés en avril 2014 à la suite d’une manifestation interdite. Certains d’entre eux avaient écopé de peine de prison à perpétuité lors de procès qualifiés d’expéditifs par la communauté internationale.
L’Union européenne a salué dans un communiqué diffusé jeudi, une mesure qui va “dans le sens de l’apaisement”.
Le Burundi est sous le coup de sanctions européennes du fait des difficultés qui existent entre le pouvoir et l’opposition à engager un dialogue politique à même de sortir le pays de la crise née de la volonté de Pierre Nkurunziza de briguer un 3e mandat à la tête du pays.
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